Associations en Amérique du Sud

ATD CUARTO MUNDO

Par Mélanie Mossard

  • Nom de l’association : ATD Cuarto Mundo
  • Moyen de mise en contact avec l’association : mon coloc au Pérou qui faisait du volontariat dans cette association
  • Contact dans l’association à transmettre : Bernadette, une religieuse française : b.boudou@yahoo.fr
  • Type d’association (enfants, environnement…) : Enfants des bidonvilles de Lima
  • Langue pratiquée au sein de l’association : Espagnol

Missions effectuées :

  • Lecture individuelle avec les enfants des bidonvilles âgés de 3 à 9 ans
  • Conte collectif conté par l’animatrice
  • Danses
  • Activités manuelles
  • Débrief avec les volontaires
  • Durée de la mission : 5 mois – tous les vendredis après-midis de 12h30 à 19h30
  • Apports : AMAZING ! Incroyable expérience. Les enfants sont d’une gentillesse incroyable. Possibilité de faire ça en même temps que les études.
  • Conseils éventuels : se déplacer dans le bidonville sans sac à main, et avec des vêtements longs, être open-minded et souriant !

Article sur Biblioteca de la Calle, par Mélanie Mossard 

D’où peut-on avoir une superbe vue surplombant Lima ? Il suffit de monter en haut d’un cerro, ce sont des sortes de petits monts de terre et poussière dans les quartiers les plus pauvres de Lima. Plus l’on monte le cerro plus les habitations sont précaires et reposent sur des matériaux récupérés. Sous le ciel de gris de Lima, s’entassent les cabanes de tôle, de bâches, de pneus. Le paysage est triste à voir, les chiens errent, se battent, défèquent dans le seul chemin pentu qui mènent aux maisons les plus hautes. Mais pourtant dans ces lieux qui n’aspirent pas vraiment à la confiance, on trouve des centaines de famille dont leurs petits niños, n’aspirent qu’à jouer, découvrir, chanter, danser, lire. Encore très jeunes ces niños ont pourtant vécu plus de choses difficiles que la plupart des adultes que je connaisse…

Vous êtes en manque de câlins et de bisous, rejoignez les volontaires de la Biblioteca de Calle, de San Martin de Porres. Vous recevrez autant de câlins, d’abrazos que nous par les petits niños du cerro de Vista Alegre. Cole s’est déjà fait un nom dans le milieu en tant que One Direction, dû à ses origines américaines et à sa belle chevelure blonde ! Tanguy est un peu le papa bien trop grand pour ces petits niños mais qui arrivent toujours par n’importe quel moyen à monter sur son dos. Vikky est la gringa alta qui ne passe pas inaperçu et qui se retrouve tout le temps avec un bébé dans les bras et moi je suis la personne à qui l’on fait répéter une dizaine de fois tous les mots les plus compliqués à prononcer en espagnol, du type « anaranjado » pour les plus grands fous rires possibles des niños !

Sur le Pont d’Avignon, interprété par Tanguy et Bernadette, sous les yeux rieurs des niños 

La Biblioteca de Calle a été créée il y a 8 ans par Bernadette et Maité, deux religieuses française et espagnole, qui ont exporté le modèle du père Joseph, d’ATD, au Pérou. Après 8 ans de présence dans ce cerro, elles ont réussi à créer un petit local où chaque semaine les enfants sont de plus en plus nombreux à venir participer aux activités du vendredi. Leur détermination, leur incroyable énergie, leur tendresse et leur volonté de faire changer les choses dans ce cerro fonctionnent, car désormais la Biblioteca des Calle
est entrée dans les habitudes des
niños qui attendent le vendredi
après-midi avec impatience. Environ
40 enfants de 3 à 12 ans, dévalent le
cerro à l’écoute de la petite chanson
de Maité et Bernadette qui résonne au travers d’un microphone. « Ya
llegó la biblioteca, ya llegó, llegó,
llegó, estamos aca para leer, estamos
aca para cantar… ya llegó la
biblioteca !! » Puis chaque niño va choisir un livre à lire avec un des animateurs, français, américain ou péruvien, en commentant ce qu’il voit, ce à quoi cela lui fait penser dans sa vie et en profite pour se confier.

Puis vient le tour du conte collectif, conté par Maité, grande pédagogue, qui arrive à maintenir l’attention de tous en employant divers accessoires. Et enfin une petite activité manuelle en rapport avec le conte, que chaque enfant rapporte chez lui avec une grande fierté.

Puis vient la partie chant : nous avons donc dans notre répertoire, la chanson de la spaghetti, la chanson des pieds, mais aussi de la chanson française comme « Sur le Pont d’Avignon » et « Frère Jacques », et la chanson en créole de Simao, un réunionnais.

C’est une expérience incroyable pour nous les volontaires, qui découvrons une autre face de la vie liménienne et le quotidien de ces habitants n’ayant pas du tout les mêmes préoccupations quotidiennes que nous. Un mode de vie qui fait réfléchir et qui nous apprend à être plus humble, à relativiser et être plus ouvert d’esprit.

La rencontre de ses enfants restera pour moi un souvenir incroyable. Le sourire de Manuelito, la curiosité de Marjorie, les poèmes de Andgie, les danses de Tatiana, les calins de Miguelito resteront gravés à jamais dans ma mémoire et auront fait de cette expérience au Pérou, un intense momento de partage.

HOGAR GLADYS

Par Mélanie Mossard

  • Nom de l’association : Hogar Gladys
  • Contact dans l’association à transmettre : moi-même d’abord puis Toya, toyadepe@yahoo.com
  • Type d’association (enfants, environnement…) : Femmes qui ont été maltraitées par leur maris ou leur famille, étant enceinte ou ayant des enfants en bas âge
  • Langue pratiquée au sein de l’association : Espagnol
  • Mission effectuée : C’était très informelle. Nous discutons avec les mamans, jouons avec les enfants dans le centre dans lesquelles elles étaient hébergées. Nous étions aussi les modèles pour les ateliers coiffures ou les ateliers manucure ! Nous avons organisé des sorties à la mer, et des anniversaires, et inviter un étudiant à peindre le Hogar.
  • Durée de la mission : 1 an – Tous les mercredi matin pendant 3 heures
  • Apports, ce qui leur a plu/déplu : Une vraie relation se créé avec les mamans, qui nous font de plus en plus confiance et se livrent plus. Incroyable environnement pour tous ceux qui veulent lancer des projets.
  • Feeback sur l’expérience : Incroyablement enrichissante. Vrai échange possible. Je suis toujours en contact avec les mamans 2 ans après. Je suis même devenue marraine d’une des petites !
  • Conseils éventuels : Très facile d’accès par le métro, très flexible sur les horaires. Possibilité de faire cette expérience en étudiant

Petit article sur Hogar Gladys écrit par Mélanie: 

C’est un lieu d’accueil pour
les mamans enceintes, 
qui ont déjà leur bébé, qui
 ont été maltraitées par leur mari ou leur famille, ou qui sont ici en attente de soin.
 Vikki et moi venions déjà dans ce lieu l’année
dernière, chaque semaine 
pour discuter avec les
mamans, de tout, de rien,
 leur apprendre quelques mots de français, leur parler du Pérou, de nos voyages qui les fascinent, de leur vie si elle le souhaite, de leurs souvenirs d’enfance, de leurs projets… Mais aussi nous jouons avec les petits niños qui ont entre 1 mois et 5 ans, tout en évitant qu’ils ne mangent des cailloux, qu’ils ne perdent leur couche entre deux tours de balançoire, qu’ils ne mettent du chocolat sur la tête du voisin, et qu’ils ne fassent pas pipi dans les pots de fleurs… c’est très prenant dirons nous !!

Au fur et mesure des semaines de vrais liens se sont créés avec les mamans comme avec les niños et nous sommes accueillies comme des reines chaque mercredi matin. Malgré toutes les nouvelles infrastructures qui ont été construites, et les nouvelles activités qui ont été mises en place, comme des ateliers coutures, travaux manuels, cosmétologie, les femmes s’ennuient et ne sortent jamais.

C’est pourquoi, avec Vikki, nous avons eu l’idée d’organiser deux sorties à la mer. Malgré le fait qu’elle se situe à 45min en transport en commun du centre, c’était pourtant une première pour la plupart des femmes et enfants qui viennent de la jungle ou des montagnes andines. Un groupe de 8 mamans radieuses, bébés dans les bras ou agrippés aux mains, accompagnées de deux gringas, ne passaient pas inaperçues dans les rues de Miraflores ou dans le tramway le week end dernier.

Les escalators en ont effrayées ou émerveillées plus d’une, sans compter le festival de parapente qui volaient au dessus de nos têtes et les surfeurs nous offrant les plus belles chutes ou figures. L’après-midi s’acheva par des pantalons trempés, des sourires figés, des yeux qui pétillent, et un grand merci qui nous fait chaud au cœur !

J’ai profité aussi de cette sortie pour revoir ma filleule péruvienne, Nataly de 10 ans. Elle ne vit plus dans le Hogar avec sa maman, mais dans un petit appartement à Lima. Elle est très curieuse de tout et je me fais une joie de répondre à toutes ses questions. Nous allons nous revoir une nouvelle fois avant que je ne parte, et nous nous écrirons par mail ou Facebook. Une rencontre incroyable cette petite Nataly !

Nous avons aussi entrepris la décoration du Hogar, grâce à l’aide de Carlos, un étudiant mexicain en échange à Lima étudiant le graphisme, qui se fait une joie de dessiner de grandes fresques colorées.

Et enfin, nous avons organisé une grande fête
d’anniversaire pour les mamans, après avoir couché tous les petits. Danses, chaises musicales, limbos, concours de rock et de salsas, chenille et autres danses folles ont pimenté la soirée jusqu’à minuit, et ont permis aux jeunes mamans de revivre des moments de leur adolescence innocente écourtée par l’arrivée de leur bébé.

Je m’implique donc dans cette association tous les mercredis matins et quelques dimanches- après-midi. Un peu dur de se lever quelques fois et l’envie n’est pas toujours là, mais il suffit de passer la porte du Hogar et l’on se rappelle pourquoi nous sommes là !

IKOPORAN

Par Christopher Beraud

  • Nom de l’association : IkoPoran
  • Moyen de mise en contact avec l’association : Par mail, sur le site web de l’association
  • Type d’association (enfants, environnement…): Environnement, jardin communautaire, garde forestier du parc.
  • Langue pratiquée au sein de l’association : Portugais et Anglais
  • Mission effectuée: Aide à la gestion du jardin communautaire et garde forestier
  • Durée de la mission: 1 mois
  • Apports, ce qui t’a plu/déplu: Très bon pour voir comment vivent les gens dans les Favelas de Rio de Janeiro et rencontrer des Brésiliens, mais il ne faut pas s’attendre à travailler. Dans l’idée c’est : tu travailles le matin et l’après-midi tu es un touriste en visite à Rio.
  • Si tu recommanderais cette expérience à d’autres étudiants: Oui mais pas plus qu’un mois. La vie dans l’hostel peut-être contraignante pour la vie privée et les missions sont un peu répétitives à force.
  • Conseils éventuels : Petite explication sur comment ça fonctionne. Tu contactes IkoPoran qui est une association type volunteering abroad, tu payes pour qu’on te place dans une association locale (qu’on te refile le contact des locaux en gros) mais tu en profites pour entrer plus dans la culture du pays tout en voyageant et rencontrant d’autres volontaires.
  • Ce qui est inclut dans le package c’est : logement, placement dans un projet, accompagnement, assurance sur place (pas d’assurance internationale) et aide à l’intégration si besoin. IkoPoran propose différents projets, allez voir sur leur site internet http://www.ikoporan.org/
  • Sinon ce qui est possible aussi c’est de contacter directement Ricardo et l’association des parcs sur place pour aller travailler, ils cherchent toujours des volontaires mais il faut savoir parler Anglais et trouver soi même un logement. https://www.facebook.com/ricardopaimdacamara.paim
  • Dernière chose : Le projet que j’ai fait, je le conseille pour un mois grand MAX, après ça devient embêtant. Les autres projets tu t’intègres mieux avec des enfants… avec lesquels tu vas créer des liens. Du coup c’est moins répétitif que jardiner. Mais ce n’est que mon avis.

LOS NINOS DEL RIO

Par Arnaud Balanche

  • Création de son entreprise: Dans le cadre du développement d’un magasin de location et vente de vélos à Lima je me suis rapproché depuis 6 mois d’une association franco péruvienne qui vient en aide aux enfants très défavorisés d’un quartier de Lima.
  • Nom de l’association : l’association s’appelle « Los ninos del Rio ». http://www.ninosdelrio.org
  • Nous les aidons de la manière suivante :
    • Pour chaque vélo que nous louons nous reversons une partie à l’association
    • Nous organisons des sorties en vélo pour changer leur quotidien incluant des sorties culturelles, des activités sportives…
    • Nous aimerions organiser avant la fin de l’année une collecte de vieux vélos à retaper pour leur offrir à Noël

TECHO

Par Antoine Dugon

  • Nom de l’association : Techo (anciennement « Un techo para mi país », maintenant c’est la même organisation au niveau de toute l’Amérique Latine)
  • Moyen de mise en contact avec l’association : par l’intermédiaire d’un ami chilien membre de l’organisation
  • Contact dans l’association à transmettre : Le personnel de l’organisation est composé en grande partie de bénévoles, et le turnover est assez important. C’est dur d’avoir un contact fixe, mais en passant par le site ils vous répondront.
  • Type d’association (enfants, environnement…) : L’objet principal de Techo c’est la lutte contre la pauvreté dans les communautés, à plusieurs niveaux. Pour les conditions de vies, des chantiers de construction sont réalisés (logements d’urgence, sanitaires, etc.) Au niveau éducatif, des ateliers sont proposés aux enfants (aide aux devoirs, activités pédagogiques, etc.). Des formations aussi pour un public plus grand. L’organisation offre également à ceux qui en rencontrent les critères, un prêt à rembourser en plusieurs fois, permettant aux bénéficiaires de se lancer dans une activité économique viable. Cette démarche implique donc un accompagnement, conseil et suivi continu de la personne.
  • Langue pratiquée au sein de l’association : Espagnol. La maîtrise parfaite indispensable, et plus particulièrement de l’espagnol local (par exemple au Chili, comprendre le parler chilien, pour pouvoir échanger de manière pertinente avec les habitants des communautés rurales défavorisées)
  • Mission effectuée : J’ai d’abord participé à un chantier d’installation de sanitaires dans un campement rural (travail manuel de construction).

A la suite de ça, je me suis inscrit comme volontaire permanent. L’idée étant de mettre à profit les capacités spécifiques de chaque bénévole (formation IÉSEG dans mon cas), j’ai accompagné une dame habitante d’un campement rural qui souhaitait atteindre indépendance et stabilité économique en lançant un commerce de confitures maison. Elle avait déjà passé les étapes de présentation de son projet et reçu le prêt de l’organisation. Mon rôle a été de l’accompagner par des rdv hebdomadaires dans le lancement et le développement de son activité (échange d’idées, conseils pratiques sur la tenue des comptes, les méthodes, où, comment et à à qui s’adresser, etc.)

  • Durée de la mission : le chantier de construction était d’environ 10 jours. Il y en a des sessions tous les étés (~janvier au Chili) dans les différentes régions. Le travail de bénévole permanent est continu et régulier. Je l’ai fait pendant tout mon 2e semestre au Chili (mars-juillet)
  • Apports, ce qui leur a plu/déplu : Le plus intéressant dans cette organisation c’est l’immersion complète. C’est géré par des locaux pour des locaux, et le regard intérieur permet une approche directe des problèmes rencontrés par ces populations. L’atmosphère positive est aussi très frappante. J’y ai personnellement vécu des expériences humaines très fortes.
  • Si tu recommanderais cette expérience à d’autres étudiants : je recommanderais au moins les travaux d’été, qui font appel à moins de compétences et se déroulent avec d’autres jeunes du pays dans une ambiance très sympa. Pour l’engagement permanent, il faut pouvoir être sûr d’avoir réellement des choses à apporter en tant que référent.
  • Conseils éventuels : J’insiste encore une fois sur la pertinence du travail de volontaire permanent en accompagnement entrepreneurial. Ce genre de suivi demande une bonne connaissance de la situation du pays, de ses problématiques et des acteurs. Je ne l’ai fait qu’après avoir déjà passé 7 mois au Chili en immersion. Je veux dire par là que si un étudiant a passé la majeure partie de son temps à faire des soirées avec des français et des étrangers, il aura peu des choses à apporter s’il est plus perdu dans le système chilien que les personnes qu’il est censé conseiller. (et même au niveau de la langue, il faut pouvoir gérer un rdv seul avec un vieux paysan à qui il ne reste plus de dents.. et pour ça un temps minimum sur le sol est nécessaire!) L’organisation est gérée presque exclusivement par des locaux, ce n’est pas vraiment le genre d’organisation où l’on va faire du « tourisme humanitaire ».

TETO

Par Robain Decroocq

  • Pays : Brésil
  • Type d’asso : construire des maisons dans les favelas pour les plus démunis
  • Contact : Leur compte Facebook et par le Facebook de Vinicius Costa Ferreira
  • Langue : Portugais
  • Mission(s) : 3 types de missions :
    • Enquêtes dans la favela pour voir quelles sont les familles qui ont le plus besoin d’une maison
    • Transcrire les enquêtes à l’ordinateur
    • Construire la maison.
  • Durée : Chaque mission se fait sur un weekend.
  • Apports : apprendre le portugais, rencontrer des gens sympas (au sein de l’association), connaître la réalité des favelas et le triste sort des gens qui y vivent.
  • Recommandé : oui
  • Conseils : Il faut parler un bon niveau de portugais pour faire ce type de mission la. Pas mal si pas un bon niveau de portugais

SELVAMONOS

  • Pays : Pérou
  • Type d’asso : Organisation d’évènements artistiques et musicaux avec la sensibilisation à la protection de l’environnement
  • Contact : Par une ancienne de IESEG (Milena Aimé et Alix Maciocia) et contact dans l’asso (Lionel)
  • Langue : Espagnol
  • Mission(s) : Responsable de production
  • Durée : 1 an
  • Apports : C’est top !
  • Recommandé : oui, complètement
  • Conseils : se renseigner sur le pays avant de venir pour ne pas être trop surpris des habitudes locales

YO VOY A TI

Par Louis Piettre

  • Pays : Bolivie
  • Type d’asso : Soin des enfants
  • Contact : Prendre contact directement avec Louis Piettre (louis.piettre@ieseg.fr)
  • Langue : Espagnol
  • Mission(s) : Soutien scolaire et sportif aux enfants de la rue
  • Durée : 1 à 5 mois
  • Apports : Expérience humaine incroyable Ambiance jeune et Dynamique Responsabilité rapide (petite association)
  • Recommandé : oui
  • Conseils : Expérience qui vous apportera certainement plus que ce que vous apporterez aux enfants

ZERO FRONTERAS

Par Tatiana Oppenheim

  • Pays : Argentine (Buenos Aires)
  • Type d’asso : Soin des enfants
  • Contact fransiscogarzon@gmail.com
  • Langue : Espagnol
  • Mission(s) : chargée de communication et participation aux activités avec les enfants
  • Durée : 4 mois
  • Apports : Mission variée : aussi bien des missions de communication que participation aux activités quotidiennes avec les enfants. Grande autonomie et flexibilité
  • Recommandé : oui
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